
Le 25 janvier 2017, le secrétaire général de la présidence de la République au Cameroun, Ferdinand Ngoh Ngoh a signé une correspondance prescrivant l’ouverture à la concurrence des activités de collecte et de traitement des ordures ménagères dans les centres urbains du pays.
Cette mesure a été prise « dans l’optique d’une meilleure gestion du secteur d’activité » dont la responsabilité incombe jusqu’à présent à la société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun (Hysacam). Au Maroc, en 2014, le ministère de l’Environnement a inscrit à son agenda la réhabilitation et la fermeture de décharges ou encore l’aménagement de casiers pour 34 centres ruraux et la mise en place de centres d’enfouissement et de valorisation des déchets ménagers pour quatre autres centres. Le budget retenu était de 54 millions d’euros, soit plus de 35,4 milliards de F. A Brazzaville et Pointe-Noire au Congo, le marché des déchets fait face au défi du manque d’espaces adéquats pour déverser les déchets. Les bacs à ordures y sont rares et quand ils existent, ils sont insuffisants.
